Photo de couverture: Pour Nelly Schenker, être pauvre, c’est être sans parole | © Natacha Rostetsky ATD Quart Monde

Enfant illégitime, Nelly Schenker vit le rejet et l’exclusion sociale. Depuis sa rencontre avec le mouvement ATD Quart Monde, elle mène depuis lors un combat pour que toute personne puisse devenir libre. Nelly Schenker témoigne à Université de la Solidarité.

Au début des années 1950, la misère règne encore assez largement en Basse-Ville de Fribourg. Enfant illégitime, Nelly Schenker vit le rejet et l’exclusion sociale. Placée en institution dès son jeune âge, elle n’ira jamais à l’école. Jeune adulte, puis mère de famille, elle se débat de petits boulots en petits boulots aux quatre coins de la Suisse, logeant dans des appartements souvent misérables ou vivant même sous tente en forêt. Jusqu’à la rencontre avec le mouvement ATD Quart Monde et avec son fondateur le Père Joseph Wresinski.

Elle mène depuis lors un combat pour que toute personne puisse devenir libre. En 2014, elle a raconté ses souvenirs dans un livre traduit cette année en français.

L’interview de cath.ch:
https://www.cath.ch/newsf/nelly-schenker-une-longue-longue-attente-2-4/

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